PROGRAMME PARIS - ÎLE DE FRANCE
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7 février 19h Les AMD-Paris organisent une rencontre –débat :
Palestine : Un peuple, une colonisation
Lieu-Dit, 6, rue Sorbier Paris 20e (Métro Ménilmontant ou Gambetta – Bus 96 arrêt Henri Chevreau)
présentation du dernier numéro de Manière de Voir « Palestine : Un peuple, une colonisation » par Akram Belkaïd et Olivier Pironet.
Depuis plus d’un siècle, les relations entre Juifs et Arabes sont placées sont le sceau de la confrontation. Après la création de l’Etat d’Israël, l’antagonisme a tourné à l’avantage des premiers, vainqueurs de plusieurs confrontations militaires. Pour les Palestiniens, et malgré une résistance opiniâtre, l’histoire contemporaine se confond avec une longue liste de déconvenues et de droits bafoués. Vivre sous la domination israélienne est synonyme de combats constants pour défendre les droits les plus élémentaires. C’est aussi une expérience qui attise les rivalités et les divisions politiques surtout quand la violence, parfois fratricide, s’impose. Censée être le porte-voix des aspirations de son peuple, l’Autorité palestinienne est vouée à un écart constant entre condamnation de l’occupant et politique conciliatrice, notamment sur le plan sécuritaire.
Sur le plan international, le conflit israélo-palestinien continue de mobiliser opinions publiques et gouvernements à l’heure où l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis rebat les cartes avec, notamment, la reconnaissance de Jérusalem en tant que capitale d’Israël.
Entrée libre et gratuite, sans réservation
Contact : amis.diplo.75@gmail.com Le Lieu-Dit : lelieudit.com facebook.com/amis.diplo.75
10 Février 14h-1h AFRIQUES EN LUTTE
Des grandes révolutions africaines aux luttes actuelles des peuples.
Survie organise une après-midi de débats sur les luttes africaines, anciennes et actuelles
La Parole Errante
9 Rue François Debergue, 93100 Montreuil
Avec la participations de militants, historiens, collectifs.
Tables de presse
Entrée prix libre.
Soirée festive avec concerts et bar/restauration
10 Février 17h Concert de solidarité pour les droits et les libertés en Turquie
Salle Olympe de Gouges 15, rue Merlin – 75011 PARIS Métro : Père Lachaise ou Voltaire
10 Février 9h30 à 17h ; Les rencontres du Mrap : Migrations climatiques et environnementales : quelles questions, quelles réponses ?
Mairie de Saint-Denis, 2 Place du Caquet, 93200 Saint-Denis
14 Février : 18 h - 20 h 30
Michel Debré et le 17 octobre 1961
Projection du petit film « 17 octobre 1961, cinquante ans après, je suis là » d’Ariane Tillenon (14’).
Table ronde animée par François Gèze, éditions La Découverte, avec Marie-Odile Terrenoire, auteur de Voyage intime au milieu de mémoires à vif. Le 17 octobre 1961 (éditions Recherches),
Mohammed Harbi, historien,
Françoise Vergès, politologue,
Mohand Zeggagh, auteur de Prisonniers politiques FLN en France pendant la guerre d’Algérie 1954-1962 (éditions Publisud),
Gilles Manceron, historien,
organisée par le Collectif 17 octobre 1961, Vérité et Justice, l’Association histoire coloniale et postcoloniale (histoirecoloniale.net) Sortir du colonialisme
La Colonie (barré) 128, rue Lafayette 75010 Paris (métro Gare du Nord ou Gare de l’Est)
20 février : 19h "Carlos, l’aube n’est plus une tentation" film de Thierry Deronne sur le mouvement révolutionnaire au Nicaragua ,
soirée organisée par El Otro Correo
Maison de l’Amérique Latine Boulevard St Germain Paris 7è
21 février : Hommage à Manouchian
rue Delambre 75014, ,co organisé par la Mairie du 14ème , le PCF et la JC du 14ème et SDC
Vendredi 2 mars : Mai 68 Vu des Suds
Sorbonne, Amphi Richelieu de 14h à 21 h.
Séance inaugurale.
Le Réseau Sortir du colonialisme, le Cedetim et l’Institut Tribune socialiste (ITS) organisent ce cycle de conférences. Cette séance sera animée par entre autres, Etienne Balibar, Gus Massiah, Luciana Castellina, Carmen Castillo, Ludivine Bantigny, Pap N’Diaye, Bachir Ben Barka ….
7 mars Soirée de soutien à la Catalogne, organisée par la CUP, le CDR et le Collectif de Solidarité avec le Peuple Catalan avec Sergi Lopez ( acteur) et Quim Arrufat ( ex- député de la CUP)
Bourse du travail République Paris 10è
8 mars
19h « La Question, livre témoin, livre saisi » à la librairie La Petite Égypte, 35, Rue des Petits Carreaux, 75002.
Intervenant-e-s : André Salem, fils d’Alleg, Anne Simonin, directrice de recherche au CNRS, historienne des éditions de Minuit, Julien Hage, maitre de conférences, spécialistes des éditeurs politiques d’extrême gauche et anticolonialistes et Nils Andersson
9 Mars Collectif Faty KOUMBA : Association des Libertés, Droits de l’Homme et non-violence
19 h à 22h30 Projection autour de la situation en Kanaky : Les Révoltes de ATAÏ.
Maison des Associations du 20ème rue Frédéric Lemaître
10 & 11 MARS SALON ANTICOLONIAL
La Bellevilloise 21 rue Boyer Paris 20è
Programme détaillé à suivre dans la rubrique dédiée
12,13, 14, 15 mars , Journées à l’initiative de l’ACTIT et réalisées en partenariat avec diverses organisations de lutte
A.C.T.I.T. - Association Culturelle des. Travailleurs Immigrés de Turquie. 54, rue d’Hauteville - 75010
À partir de 11h jusqu’en soirée*. Exposition, Projections/débats et Témoignages
"La chasse aux migrants : politique migratoire de l’Europe face aux réfugié-e-s. Rôle des etats français & turc.
13 mars 18h30 Femmes en Résistance
Soirée organisée par l’AFASPA et RENAPAS.
Projection Qui se souvient de Dulcie September ? de François Gauducheau
Le 29 mars 1988, la Sud-Africaine Dulcie September, représentante de l’ANC en France était assassinée devant son bureau, à Paris, dans le 10e arrondissement. Jusqu’à ce jour, aucune enquête n’a pu révéler les détails de ce meurtre politique, malgré de nombreuses pistes évoquées dans ce document.
Ce film retrace le destin d’une jeune militante métisse du Cap, étudiante et militante dans un groupuscule gauchiste, arrêtée en même temps que Mandela, emprisonnée plusieurs années, puis exilée et assassinée en France par l’apartheid pour la libération de son pays. Dix ans après, Nelson Mandela rend hommage à travers elle aux militants parfois inconnus qui ont eux aussi écrit une page de l’histoire sud-africaine.
En présence de Jacqueline Derens
Salle des expositions
8 rue de la Banque Paris 2è
14 mars 19h Mohamed Boudia et Henrie Curiel, leur combat pour l’Algérie et la Palestine avec Nils Andersson et la Librairie du Point du Jour
ACTIT rue d’Hauteville Paris 10è
14 mars : 19h La situation au Rojava avec Nirsel Killic,Yann Renoult et Mireille Court
CICP, 21 ter Rue Voltaire Paris 11è
14 mars 19h « Henri Curiel et Mohamed Boudia, deux anticolonialistes et internationalistes assassinés dans Paris »,
à l’ACTIT, 54 rue D’hauteville 75010.
Intervenant(e)s : Henri Pouillot, modérateur, Joyce Blau, militante dans les réseaux de soutien et dans Solidarité, proche d’Henri Curiel, Rachid Boudia, fils de Mohamed Boudia, Djilali Bencheikh, écrivain, camarade de Boudia, Luc Chauvin, fondateur des éditions Premier Matin de novembre et Nils Andersson
15 mars : 19h - 22h, dans le cadre des “jeudis rouges“ organisés par le PCF 20e,
Projection débat autour de la Kanaky Thématique de la soirée : Le long chemin vers l’indépendance, notamment autour du référendum de novembre 2018.
Dans le cadre de la semaine anticoloniale, le PCF Paris 20 avec le MJKF (mouvement des jeunes kanak en France) et le Collectif Solidarité Kanaky, vous invite à la projection du film de Mehdi Lallaoui suivi d’un débat avec des militants du Flnks autour du référendum d’autodétermination en Nouvelle-Calédonie. Le tout accompagné d’un repas kanak à prix raisonnable. Musique avec Sly harmony (Kanéka fusion)
3 place des Grès, Paris 20è
15 mars 19h Projection-Débat "James Baldwin, The Price Of The Ticket" (1989)
Organisé par James Baldwin Collectif
Débat animé par Samuel Légitimus
ECS100 100 rue de Charenton Paris 12è
15 / 16 mars : 9h30 -18 h Tribunal Permanent des Peuples sur les crimes de Guerre en Turquie et à l’extérieur contre le peuple kurde.
Salle Eugène Hennaf de la Bourse du Travail 29 Bd du temple, Paris
contact CDKF
15 mars 19h Israël, le grand laboratoire du terrorisme d’Etat
Conférence-débat sur le rôle d’Israël dans l’expérimentation non seulement d’armes, de technologies de contrôle et de répression des populations, mais aussi de la mise en oeuvre de la « stratégie du choc » et de la suppression, qui en découle, des droits les plus fondamentaux.
Conférence-débat organisée en commun par EuroPalestine et le Collectif « Ni Guerre ni état de guerre »
Librairie Résistances 4 villa Compoint 75017 Paris
16 Mars : 19 heures Mise en espace du poème d’Olivia Elias « Ton nom de Palestine »
Collectif théâtre Palestine, Les amis d’Al Rowad, et les amis du théâtre de la Liberté de Jénine
Théâtre Comédie Nation 77 rue de Montreuil 75011 Paris
16 mars : 19h-21h Projection- débats de vidéos "Les médias, enjeux de lutte et de pouvoir" de Radio Rebelde (60 ans le 24 février 2018) avec Luis Alberto Reygada, journaliste écrivain mexicain
Maison d’Amérique Latine, 217 Bd Saint Germain 75007 Paris.
Co organisé par El Otro Correo et France Cuba Comité Paris
16 mars 19h Regards croisés Sahara Occidental-Kanaky (luttes pour l’autodétermination, référendum, luttes sociales).
Organisé par la CNT, l’AFAPREDESA, le CORELSO, l’USTKE, le MJKF.
Expo - projection - débat -repas – musique.
CNT 33 rue des Vignoles, Paris 20ème
17 mars : Marche des Solidarités, contre le racisme d’Etat et les violences policières
RDV 14h Métro Opéra
17 mars : 19h ) Nouvelle Calédonie : un référendum, pour quoi faire ? Décryptage d’un enjeu colonial
FASTI, 58 rue des Amandiers 75020 Paris
18 mars 10h à 18h Projections par le Collectif Faty Koumba :
Maroc : Ben Barka : l’équation marocaine de 10h à 12h30.
Palestine : La terre parle arabe. de 13H30 à 18h.
18 mars : 14 - 17h : taştê (brunch)- débat pour le droit à l’autodétermination des peuples
avec des militants kurdes, kanaks, sahraouis, catalans…
ICD (Initiative pour un Confédéralisme Démocratique)
16 Rue d’Enghien, 75010 Paris
18 mars Inauguration de « l’anticolonial fait son cinéma :
Sur un air de Charleston de Jean Renoir 1927.
Conférence du Comité pour la Vigilance face aux Usages publics de l’Histoire (CVUH) sur l’utilisation du mot « Race »
par Gilles Manceron, Elsa Dorlin, Carole Reynaud Paligo, historien(ne)s
ECS 100, rue de Charenton
19 mars : 19h Bumidom : le cas des migrations féminines
Organisé par Parlons des Femmes Noires
Dans le cadre de la Semaine Anticoloniale, le collectif Afro-Fem vous propose le lundi 19 mars 2018 la projection du documentaire "Quitter les Antilles" (Daniel Karlin, 1970) suivie d’une table ronde dédiée aux trajectoires de femmes durant les migrations organisées par le Bumidom (Bureau pour le développement des migrations dans les départements d’outre-mer).
Tandis que le documentaire présente la vie de femmes martiniquaises avant le départ, durant la table ronde Stephanie Condon et Viviane Rolle-Romana interviendront pour commenter le vécu de ces femmes une fois arrivées dans l’hexagone et les difficultés spécifiquement liées au contexte migratoire.
Invitées
Marie-Ange Rousseau, illustratrice du roman graphique "Péyi an nou" (Editions Steinkis, octobre 2017)
Viviane Rolle-Romana, psychologue et directrice du CAFAM (Collectif d’aide aux familles matrifocales, monoparentales et migrantes)
Stephanie Condon, chercheuse à l’Ined (Institut national des études démographiques) et autrice en 2008 de "Travail et genre dans l’histoire des migrations antillaises"
Documentaire "Quitter les Antilles" (Daniel Karlin, 1970)
Au travers des portraits de 3 jeunes femmes, Félicienne, Marie-Ange et Louisiane, Daniel Karlin dépeint les conditions de vie des femmes en Martinique dans les années 70.
Si elles ont toutes la volonté d’écrire une histoire personnelle en rupture avec celles douloureuses de leurs mères, les 2 premières ont fait le choix de partir pour améliorer leurs revenus et mieux soutenir financièrement leurs familles tandis que la troisième décide de rester sur l’île pour participer à son évolution.
Roman graphique "Péyi an nou" Durant la soirée, un stand de vente et dédicace sera tenu par l’illustratrice Marie-Ange Rousseau.
"1963. Une agence d’État est créée pour soutenir la relance de l’économie française. En vingt ans d’existence, le Bumidom aura organisé l’émigration de 160 000 personnes originaires de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de La Réunion. Péyi an nou est à la fois une enquête pour comprendre la politique et le fonctionnement du Bumidom, ses répercussions, son héritage… et un hommage à ces Français contraints à l’exil dans un pays qu’ils pensaient être le leur, la France."
Les autrices, Jessica Oublie et Marie-Ange Rousseau (Editions Steinkis, octobre 2017)
"Après des études en histoire de l’art et près de deux ans à la rédaction de la revue Africultures, Jessica Oublié travaille en Afrique pendant 5 ans dans les domaines culturel et linguistique. De retour en France, elle se lance dans cette enquête sur la migration antillaise des années 1960 à 1980.
Après un BTS Communication Visuelle, Marie-Ange Rousseau revient à ses premières amours, l’illustration et la BD, en entrant dans une d’Arts Narratifs dont elle termine la formation en 2015."
source : site des éditions Steinkis
20 mars : 18h-22h Mai 68 vu d’Asie L’Asie du Sud-Est, zone des tempêtes (Vietnam, Laos, Cambodge, Philippines, Indonésie…)
La Chine, influence du maoïsme et réalités de la Révolution culturelle
Le Maltais Rouge, 40 rue de Malte
20 mars 19 h Conférence / Débat : "Maroc - Afrique" : une nouvelle donne ? organisée par l’AMDH
L’AMDH Paris/IDF vous invite à une conférence/débat autour du theme " Relations Maroc-Afrique : Nouvelle donne ? " , le mardi 20 mars 2018 à 18h30 au 21ter Rue Voltaire, 75011 Paris avec la participation de :
Elsa Tyszler : Doctorante chercheuse dans le domaine de migrations et politiques migratoires.
et
Younes Dinar : Militant AMDH PARIS/IDF
Notre débat portera sur trois axes principaux :
La politique migratoire du Maroc : Carte à jouer ou vanne de sécurité ?
La diplomatie économique en Afrique ; Qui en profite ?
Enjeux géopolitiques du Maroc en Afrique : Décryptage et arrêt sur images.
CICP, 21 ter rue Voltaire, 75011
20 mars18h-22h : Le racisme, au nom de la loi
Théâtre, slam, poésie et table-ronde proposé par le collectif Le paria à L’Ogresse Théâtre
La mise en procès. Mise en procès contradictoire du Code Noir, du Code de l’indigénat et du Code des étrangers. Pièce écrite et mise en scène par Maylis Isabelle Bouffartigue.
Les raisons de la colère. Une création originale de Zola Noir Charbon Massela avec le collectif Le paria
Table-ronde et débat : Racisme d’État et refoulement des étrangers
Lieu : L’Ogresse Théâtre 4 Rue des Prairies, 75020 Paris
M° Porte de Bagnolet
Organisation : Collectif Le paria http://leparia.fr
Contacts : leparia@leparia.fr
21 mars : 18h-22h Mai 68 vu d’Afrique subsaharienne
l’Afrique francophone (Mai 68 au Sénégal, rôle de la FEANF, etc.) La révolution portugaise et les colonies africaines
Le maltais Rouge , 40 rue de Malte
21mars : Journée internationale contre le racisme : L’anticolonial fait son cinéma :
19h Analyse du film de propagande LA FRANCE EST UN EMPIRE de Jean d’Agraives et Emmanuel Bourcier
Documentaire de propagande/France/1939/1H30
Ce documentaire présente les colonies françaises de 1939. Il revient sur les territoires, leurs spécificités, et les changements introduits par la présence française. La médecine, l’éducation, l’armée et l’agriculture sont mis en avant par les images, qui présentent les territoires colonisés le film sera analysé les historiens Gilles Maceron et Alain Ruscio.
ECS 100 rue de Charenton, 75012
21 mars 18h La lutte anti impérialiste en Turquie, au Rojava et ses répercussions en Europe, organisé par L’ACTIT
CICP 21 ter rue Voltaire Paris 11è
21 mars 19h MEETING DE SOLIDARITÉ AVEC LE PEUPLE KANAK
Appel des organisations solidaires de la lutte du peuple kanak
Bourse du travail
3 rue du Chateau d’eau Métro République
Trente ans après les accords Matignon-Oudinot et après celui de Nouméa, un référendum sur l’accession à la pleine souveraineté de la Kanaky – Nouvelle-Calédonie se tiendra le 4 novembre 2018.
Cette consultation référendaire est l’ultime étape d’un combat commencé en 1977. Au terme de l’accord de Nouméa, le peuple calédonien s’exprimera sur son devenir. Cette consultation interrogera les populations locales concernées, seules à pouvoir s’exprimer. C’est donc une affaire strictement locale.
Or ces derniers mois, certains moyens de l’Etat sont utilisés pour s’ingérer voire s’inviter dans le débat. L’État français ne semble pas prêt à aller jusqu’au bout de son engagement formel pris lors de la signature de l’accord de Nouméa. Tous viennent porter la bonne parole qui est maintenir la France en Kanaky. Quid de la prise de possession unilatérale ? Quid des spoliations de terres ? Quid de l’identité kanak confisquée ?
La formulation de la question qui sera soumise à consultation référendaire, encore non arrêtée, est aussi une autre diversion pour créer de la division et maintenir la suspicion sur les conditions de la sortie. En effet, il est possible que l’indépendance totale ne soit pas l’option proposée au vote.
Quelques jours avant la tenue du Comité des Signataires des Accords de décolonisation (qui rassemble des représentants des partis indépendantistes, non-indépendantistes et de l’État français), une délégation du FLNKS, dont le porte-parole Daniel Goa, participera au meeting organisé par le Mouvement des Jeunes Kanak en France (MJKF), l’Union syndicale de Travailleurs Kanak et des Exploités (USTKE), le collectif Solidarité Kanaky et l’AISDPK le mercredi 21 mars 2018 à 19h. Bourse du travail de Paris, Salle Ambroise Croizat, 3 rue du Château d’Eau – 75010 Paris (Métro République)
A l’approche de l’échéance référendaire, les organisations soussignées appellent à participer à la mobilisation pour informer sur les enjeux de ce scrutin d’autodétermination et à dénoncer les procédés colonialistes toujours à l’œuvre :
Elles soutiennent les revendications légitimes du peuple kanak et demandent que :
L’Etat français respecte l’impartialité et sa parole dans l’accompagnement du processus de décolonisation.
Soient inscrits tous les Kanak (de droit coutumier et droit commun) sur la liste générale, puis référendaire.
Le corps électoral spécial, qui marque l’arrêt définitif de la colonisation de peuplement, soit constitué avec sincérité et légitimité.
La question posée pour la consultation référendaire soit strictement conforme à l’Accord de Nouméa.
22 mars L’anticolonial fait son cinéma :
19h LES TROIS GUERRES DE MADELEINE RIFFAUD de Philippe Rostan
Documentaire/France/2010/1H34
Résistante pendant la Seconde Guerre mondiale puis journaliste engagée sur le front de la décolonisation, Madeleine Riffaud raconte ses engagements qui la mèneront à couvrir trois guerres.
Suivi d’une rencontre avec l’historien Alain Ruscio
ECS,100 rue de Charenton, 75012 :
22 mars 19h : soirée organisée par la campagne BDS
SOIREE BDS (= Boycott, Désinvestissement, Sanctions contre Israël jusqu’à ce que cet Etat se conforme au droit international) SUR LE THEME :
L’IMPORTANCE DES BOYCOTTS CULTUREL ET UNIVERSITAIRE :
Pourquoi ces boycotts ? Qui et quoi visent-ils ? Pourquoi sont-ils très importants pour la solidarité avec le peuple palestinien ?
AVEC :
SONIA FAYMAN, présidente des Amis du Théâtre de la Liberté de Jénine (ATL Jénine)
IVAR EKELAND, ancien président de l’Université Paris-Dauphine
Leurs interventions seront suivies d’un débat avec le public et d’informations sur les mobilisations en cours.
Réservation : soir22marsbds@gmail.com
CICP 21 ter rue voltaire Paris 11è
23 mars : 18h-22h Mai 68 vu du monde arabe :
Mai 68 au Maghreb (Tunisie, Maroc, Algérie)Palestine et Moyen Orient, le nationalisme arabe et le conflit israélo-palestinien avant et après 1968
Le Maltais rouge 40 rue de Malte
23 mars L’anticolonial fait son cinéma
19h LES BALLES DU 14 JUILLET 1953 de Daniel Kuperstein Documentaire/France/2014/1H25
Le 14 juillet 1953, un drame terrible s’est déroulé en plein Paris. Au moment de la dislocation d’une manifestation en l’honneur de la Révolution Française, la police parisienne a chargé un cortège de manifestants algériens. Sept personnes (6 algériens et un français) ont été tuées et plus de quarante blessés par balles. Cette histoire est quasiment inconnue en France comme en Algérie. Ce film, est l’histoire d’une longue enquête contre l’amnésie.
ECS100 100 rue de Charenton Paris 12è
24 mars 19 h Burundi : dans l’action et sous la répression, les femmes et les jeunes.
Bourse du Travail Métro République Paris 10è
24 mars : Newroz, Sarcelles Nouvel An Kurde, organisé par le CDKF,
Espace Champs de Foire, Route des Refuzniks, entrée 10 euros
24mars : 19h Présentation de l’Encyclopédie de la colonisation par Alain Ruscio
Libre Ere 111 bd de Ménilmontant Paris 20è
24 mars : Université du Bien Commun et Sortir du Colonialisme :
Les savoirs autochtones : des biens communs face à la privatisation du vivant et l’accaparement des terres
Les savoirs locaux et autochtones comprennent les connaissances, savoir-faire et philosophies développés par des sociétés ayant une longue histoire d’interaction avec leur environnement naturel. Pour les peuples ruraux et autochtones, le savoir traditionnel est à la base des décisions prises sur des aspects fondamentaux de leur vie quotidienne.
Avec Patrick Farbiaz (animateur du Réseau Sortir du Colonialisme, membre de la Coopérative politique Ecologie Sociale),
Françoise Degert (Journaliste),
Claire Chanut (Association Fotosintesia et mouvement des Femmes semencières),
Leandro Varison (Juriste, programmes : « Droits des peuples » et « Eau, bien commun de l’humanité », Fondation France Libertés).
Animation : Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent).
INTERVENTIONS : Patrick Farbiaz introduira la session sur le thème : colonialisme et néocolonialisme contre les communs. Françoise Degert évoquera la privatisation du vivant, des savoir-faire, des semences, des paysages et l’accaparement des terres par l’industrie, les Etats, l’ONU et surtout par certaines BINGOS (big ONG). Claire Chanut évoquera son engagement pour la conservation et la transmission des savoir faire, pour la reproduction et la conservation des semences vivantes et non modifiées face aux législations contraignantes en place. Leandro Varison décrira le cadre juridique international ainsi que l’action menée par des gouvernements et des ONG pour lutter contre la biopiraterie et pour faire respecter les droits des peuples autochtones par rapport au pillage de leurs ressources.
ECS 100 rue de Charenton 75012,
24 mars 20h La Mise en Procès
par la Cie Monsieur Madame, en présence d’Olivier Lecour Grandmaison
Dans le cadre de la semaine antiraciste et solidaire de St Denis
Théâtre Gérard Philippe
24 mars 10h à 18h Projections organisées par le collectif Faty Komba
Algérie : La bataille d’Alger de 10h à 12h30.
Palestine : Les 18 fugitives de 13h30 à 18h.
Maison des Associations du 20ème rue Frédéric Lemaître
24 mars 14h Forum pour l’Avenir de l’Afrique
Salle des Fêtes de la Mairie du 14eme
15h-17h30Rencontre organisée par le CRLDHT
LE DROIT DE VOTE DES ÉTRANGERS - UNE HISTOIRE DE QUARANTE ANS
Les rencontres LiQuaèts organisées par Le Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie reviennent à la Colonie pour une seconde édition autour de l’ouvrage de Bernard Delamotte Le droit de vote des étrangers - Une histoire de quarante ans
La question de la citoyenneté, des droits politiques et, en particulier, du droit de vote et d’éligibilité des étrangers en France est un combat qui dure depuis 40 ans maintenant et Bernard Delemotte en est l’un des principaux témoins et infatigables animateurs. C’est cette histoire qu’il retrace de manière exhaustive dans son livre Le droit de vote des étrangers - Une histoire de quarante ans. Qu’en est-il aujourd’hui de cette revendication ?
Au programme rencontre avec Bernard Delamotte, débat et dédicace.
Animé par Mohsen Dridi
Témoignages : Acteurs sociaux "sans Droit de Vote !"
La Colonie (barrée) 128 rue Lafayette Paris 10ème
25 mars 2018 19 h Bengal Shadows / Les Ombres du Bengale Documentaire sur la famine de 1943 au Bengale –
Projection publique & Rencontre-débat avec Joy Banerjee et Mogniss H. Abdallah Saint-Sauveur 11 rue des Panoyaux, 75020 Paris -Métro Ménilmontant
animé par Mouloud Weber (Tout au fond près du radiateur, émission sur Radio FPP)
plus de 3 millions de morts – et sur la responsabilité du pouvoir colonial britannique, alors dirigé par un Winston Churchill aux relents racistes, en particulier à l’égard des Indiens.
En 1943, au Bengale, va se dérouler l’un des épisodes les plus sombres, mais méconnu, du front oriental de la seconde guerre mondiale : à Calcutta, capitale jusqu’en 1911 de l’Inde (colonisée depuis le milieu du XVIIIème siècle par les Britanniques), des dizaines de milliers de paysans vont mourir de faim sur les trottoirs de la ville. Dans les campagnes, sévit une terrible famine. Au total cette année -là, au Bengale occidental et dans l’actuel Bangladesh, entre 3 et 5 millions de personnes ont été emportées par une famine qui d’après de nombreux historiens anglais et indiens aurait pu être évitée.
Ce drame va naître d’un enchainement d’événements suite au déclenchement de la seconde guerre mondiale. Les Anglais recrutent massivement des soldats indiens. 200 000 avant la guerre, ils seront bientôt deux millions et demi, envoyés sur différents fronts, dans le nord de l’Inde, au Moyen-Orient et jusqu’en Europe. Avec les millions de soldats indiens et britanniques à nourrir et l’effort de guerre à soutenir, la pression sur les ressources de la colonie devient très forte et la situation alimentaire commence à se dégrader...
Après l’attaque surprise de Pearl-Harbour, l’armée japonaise cumule les victoires militaires (Philippines, Malaisie, Singapour…) et se rapproche des frontières de l’Inde, tandis que le mouvement « Quit India », lancé par Gandhi et le parti du Congrès réclame l’indépendance immédiate. Un autre leader nationaliste, plus radical que Gandhi et des membres du Congrès, va prendre les armes et menacer directement les Anglais : Netaji Subhas Chandra Bose.
Ce Bengali décide de partir en exil pour combattre les Anglais et, pour cela, va même aller chercher du soutien auprès des Allemands et leurs alliés japonais.
Depuis leur cabinet de guerre, le premier ministre Winston Churchill et plusieurs de ses conseillers ordonnent de mettre en œuvre une politique de la terre brûlée au Bengale qui va jouer un rôle important dans le déclenchement de la famine. Cette politique va toucher tout le Bengale rural. La région de Midnapur, située à une centaine de kilomètres de Calcutta, a été particulièrement visée, car la révolte contre les Anglais y était forte et parce qu’elle est située au bord de l’océan indien et donc vulnérable en cas de débarquement japonais. Des bateaux indiens sont confisqués ou détruits, l’infrastructure des transports démantelée : deux tiers des 66000 bateaux enregistrés au Bengale ont été rendus inutilisables. A cela, il faut ajouter les conséquences du cyclone d’octobre 1942, qui a tué plus de 40 000 personnes, détruit les récoltes et le bétail des régions côtières, et a laissé des centaines de milliers de personnes sans abri et sans nourriture…
Devant l’ampleur de la catastrophe qui commence à s’ébruiter à travers le monde, une aide internationale arrive petit à petit vers la fin de l’année 1943. Très tard et de façon trop insuffisante, d’autant que les Britanniques réquisitionnent d’abord navires et cargaisons pour approvisionner en priorité l’Angleterre et ses alliés. « Britannia rules the waves » s’enorgueillit l’hymne impérial. Derrière la figure héroïque du « lion » indomptable, Winston Churchill apparaît ainsi sous un jour moins glorieux dans sa conduite envers les Indiens, ces « 300 millions de primitifs » qui « se reproduisent comme des lapins », sous-entendant qu’ils seraient ainsi eux-mêmes responsables de la famine.
Le cynisme de Churchill, ses propos racistes, retiendront l’attention d’historiens, anglais ou indiens. Dans son livre « Churchill’s Empire » (Macmillan 2010), Richard Toye, de l’université d’Exeter en Angleterre, rappelle la propension de Churchill à animaliser les populations indigènes tout au long de sa gouvernance coloniale : « Je hais les Indiens. Ils constituent un peuple bestial avec une religion bestiale », a-t-il ainsi déclaré. Irlandais, Kurdes, Soudanais, Mau-Mau au Kenya, mais aussi résistants communistes grecs, ont également été confrontés à sa brutalité impériale.
En 2010, la chercheuse Madhusree Mukerjee publie « Churchill’s Secret War. The British Empire and the Ravaging of India during World War II », un livre de référence sur cette famine de 1943 au Bengale, qui sortira en français sous le titre « Le Crime du Bengale – La part d’ombre de Winston Churchill ( Ed. Les Nuits rouges, 2015). Son expertise constitue un des fils conducteurs du documentaire Bengal Shadows / Les Ombres du Bengale. D’autres historiens indiens, tels que Rudranshu Mukerjee, Shusnata Das ou Subhir Sinha (SOAS – Londres), apportent leur éclairage sur la politique coloniale de Churchill, qui s’est malheureusement aussi appuyé sur quelques négociants véreux et collabos bengalis qui ont réalisé des profits pendant la famine.
Les réalisateurs Joy Banerjee et Partho Bhattacharya – vivant en France - ont aussi recueilli sur place des témoignages exclusifs, poignants, de personnages aujourd’hui âgés qui ont vécu ces événements dramatiques. 70 ans après l’indépendance de l’Inde, la mémoire de Jhorna Bhattacharya, militante communiste, de Chitta kumar Samonta, ancien combattant, ne s’est pas dissipée. Elle reste intacte, précise.
Des œuvres d’artistes, tels les dessins de Chittoprosad Bhattacharya, les peintures de Zainul Abedeen, ou encore « Distant Thunder (Tonnerre Lointain) », film de Satyajit Ray avec l’acteur Soumitra Chatterjee qui témoigne dans le documentaire, ou encore des chansons telles que « Dhakar Daak », contribuent à leur manière au renouveau d’une mémoire collective qui s’inspire encore de la famine du Bengale en 1943.
Aujourd’hui, des universitaires, des militants ou des hommes politiques indiens comme Shashi Tahroor, auteur du livre « Inglorious Empire – What the British did to India » (Hurst & Co – 2017), réclament réparation. Leurs recherches sur une « man-made » famine, littéralement « fabriquée par l’homme », peuvent aussi alerter sur ce qui se passe ailleurs dans le monde aujourd’hui-même, comme par exemple au Yémen où des millions de personnes subissent actuellement maladies et famine, conséquences directes du blocus militaire et de la guerre menée par le pouvoir saoudien avec le consentement des anciennes puissances coloniales.
Bande-annonce de « Les Ombres du Bengale » en VF : https://www.facebook.com/BengalShad...
Version courte de « Bengal Shadows » en version anglaise, avec une introduction de Tariq Ali, dans le cadre de l’émission « The World today with Tariq Ali » :
https://www.youtube.com/watch?v=K-h...
Page Facebook pour « Les Ombres du Bengale » : https://www.facebook.com/BengalShadows/
Entretien avec le réalisateur Joy Banerjee, diffusé le 9 mars 2018 sur Radio FPP, dans l’émission Frontline, et disponible en ligne : http://www.bboykonsian.com/Emission...
Saint-Sauveur 11 rue des Panoyaux, 75020 Paris - Ménilmontant
25 mars : Journée internationale du souvenir des victimes de l’esclavage
26 mars : l’anticolonial fait son cinéma
Le petit Vietnam 2011, Philippe Rostan : En 1954, après la défaite de Dien Bien Phu, le premier centre d’accueil est établi à Noyant d’Allier. Pour les épouses vietnamiennes des militaires français, leurs enfants eurasiens et les vietnamiens naturalisés, c’est un véritable choc climatique et culturel.
Débat animé par le réalisateur
ECS100 rue de Charenton Paris 12è
27 mars : L’anticolonial fait son cinéma :
Une journée au soleil 2017 débat animé par Areski Métref / Marie-Joëlle Rupp
ECS 100 rue de Charenton Paris 12è
28 mars 19h15 I’m not your negro film de Raoul Peck
19h15 : Accueil des participants par les associations partenaires : MRAP Pantin Pré Saint Gervais, Collectif James Baldwin, Sortir du colonialisme.
20h15 Projection : I’m Not Your Negro
De Raoul Peck. France. 2017. Couleur. VF. 1h33. Documentaire
César du meilleur documentaire 2018
À travers les propos et les écrits de l’écrivain noir américain James Baldwin, Raoul Peck propose un film qui revisite les luttes sociales et politiques des Afro-Américains au cours de ces dernières décennies.
Projection suivie d’un débat avec Samuel Legitimus, créateur du collectif James Baldwin, modéré par Eléonore Bassop
Ciné 104 104 av Jean Lolive, 93 500 Pantin
29 mars 18h-22h Mai 68 vu D’Amérique Latine
Les influences réciproques de Mai 68 et de la Révolution cubaine dans le sous-continent.
L’Amérique centrale, Mexico
Maltais Rouge , 40 rue de Malte
29 Mars : 19h
POÉTIQUES DE RÉSISTANCE PUISSANCE(S) DE LA VOIX
Soirée proposée par l’Institut du Tout-Monde
Maison de la Poésie 157 Rue Saint-Martin, 75003 Paris
Entrée 10 € / adhérent-e : 5 €
Dans son anthologie La terre le feu l’eau et les vents, Édouard Glissant écrivait : « Le Tout-monde est à la fois le limon et la cendre, la libation et l’élévation, la terre et le feu, l’eau et l’air secret. L’enfouissement et la consomption, la purification et l’inspiration : la terre encore et les feux, l’eau et l’air, brutalement. Dans ces éléments sont abordés la pensée humaine, les souffrances des peuples, les luttes et les abandons, ce que tu cries et ce que tu médites. »
C’est un peu de cette union que donnent à vivre et à entendre les soirées « Poétiques de résistance » proposées par l’Institut du Tout-Monde depuis 2014. L’anthologie d’Édouard Glissant se proposait d’ouvrir les imaginaires sur la diversité bruissante de ces poétiques que nous souhaitons, à notre tour, convier dans leurs présences vives au gré de ces rendez-vous.
Dans le cadre des soirées « Poétiques de résistance », proposées par l’Institut du Tout-Monde et le réseau Sortir du colonialisme.
Programme ici : http://www.maisondelapoesieparis.co...
29 mars 18 h Hommage à Dulcie September devant l’immeuble où elle a vécu.
Dépôt de gerbes et prises de parole
100 avenue de la Convention à Arcueil
30 mars 18h-22h Mai 68 vu des territoires toujours colonisés par la France
Le Maltais Rouge , 40 rue de Malte
30 mars de 18h30 à 20h30 Le Café Politique de la Section PCF du 14ème arrondissement
Présentation du livre "Irréductibles sahraouies, femmes et hommes en Résistance" de Michèle Decaster en présence de Oubi Bouchraya.
45 ans d’Histoire du Sahara occidental, racontés par ceux qui l’ont vécu dans la Résistance à l’occupation coloniale. Dans l’ouvrage d’une soixantaine de récits de vies, ces grands témoins de trois générations confient leurs souvenirs d’enfance, leur prise de conscience, les formes de Résistance pacifique et la répression coloniale qui ne peut étouffer la voix d’un peuple à exiger son droit imprescriptible à l’autodétermination. La militante de l’AFASPA présentera son livre avec un support diaporama.
À l’issue du débat vous pourrez déguster bissap, thé à la menthe et grignoter des spécialités d’Afrique de l’Est réalisées par nos amies djiboutiennes.
32 rue Saint Yves (métro Alésia)
31 mars Toutes et tous à Chamalières où est produit le Franc CfA, à l’initiative de la Plate- forme panafricaine
14 avril Clôture du cycle Mai 68 vu des SUD
CICP 21 ter rue Voltaire Paris 11è
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